C'est avec beaucoup de plaisir que je viens de découvrir une professionnelle de la haute couture, dont les articles sont vendus à des prix raisonnables. Catherine est une personne très attentionnée, qui sait marier la robe avec le chapeau et nous donne de belles idées pour les accommoder avec les accessoires. Elle prend le temps de vous conseiller. J'ai été conquise par une superbe robe en guipure que je vais porter pour le mariage de ma fille. Merci à Catherine et à son équipe !

Catherine est une grande professionnelle qui a énormément d'expérience et de talent. Elle adoooooooore son métier et le fait avec énormément de passion. Elle donne beaucoup et met du coeur dans ce qu'elle fait. Elle n'arrête jamais, bouillonne d'idées et d'énergie... Une grande dame de la Mode ! Bref, Mesdames et Mesdemoiselles....foncez !!! Céline Tastevin ( Modiste) www.un-chapeau-a-auteuil.fr

J'ai fait faire ma robe de mariée chez Catherine Carnier et je souhaitais partager mon expérience.

Pour commencer par le positif, je ne peux que confirmer que Catherine Varnier a un véritable talent afin de créer des robes de mariée. Le projet pour ma robe m'a plu dès le départ et Catherine semblait avoir parfaitement compris ce que je cherchais. Le budget était relativement élevé mais cette robe nous plaisait tellement avec ma mère que nous avions accepté de débloquer les fonds nécessaires.

Mais dès que nous avons confirmé notre intention de commander la robe, tout a commencé à mal tourner.

Tout d’abord la prise de mesures : à la fin du rendez-vous, le prix annoncé est plus élevé que celui du devis pour EXACTEMENT la même robe. Mais que faire, votre mariage est dans 6 mois, vous n’avez plus le temps de refaire toutes les boutiques afin de trouver la bonne robe.

Le 1er essayage a lieu 1 mois plus tard : là, émotions !!! Vous pouvez essayer une robe déjà bien ébauchée car la robe est déjà coupée et cousue. Nous émettons quelques commentaires par rapport à des points à améliorer mais Catherine rejette tout en bloc : dès que le dos du bustier et la longueur de la robe seront prêt tout ira parfaitement. Et ainsi de suite pour les rendez-vous suivants…

Impossible de dire quoi que ce soit, tout est toujours parfait. Jusqu’à ce que l’on arrive 1 mois avant le mariage : la robe est quasiment terminée (bustier et longueur de robe ajustés). Et là, toujours beaucoup de détails qui ne vont pas : le plissé et les broderies du bustier ne sont pas bien cousus, le bas de la robe (déjà repris 2 ou 3 fois), n’est toujours pas cousu correctement, les boutons du dos ne sont pas alignés et j’en passe. Mais le pire, c’est que cette robe de mes rêves est beaucoup trop décoltée pour moi (dès le 1er essayage cela avait été indiqué). Je souhaitais qu’à mon mariage mes invités me regardent dans les yeux… et la réponse de Catherine : il n’y a plus le temps pour faire quoi que ce soit ! Je me suis effondrée en pleurs (ce nouveau stress ajouté à celui de la préparation du mariage, cela en était trop).

Finalement Catherine a trouvé une solution, mais de bien mauvais cœur (solution qui finalement à peut-être rendue ma robe encore plus belle J ).

Il a donc fallu revenir une fois encore 2 semaines avant le mariage afin d’essayer la robe (et je venais de très loin…).

Au dernier essayage toujours des petites modifications, mais ouf, le bustier est joli et moins décolté…

Catherine Varnier a malheureusement un caractère exécrable. Elle essaye de se tenir avec ses clientes mais ce n’est pas le cas avec ses couturières qui s’en vont les une après les autres. Il ne reste plus que celles qui ne savant pas faire un bas de robe correctement…

Les rendez-vous d’essayage ont été un vrai cauchemar pour moi, et je ne peux pas souhaiter une expérience similaires aux futures mariées qui envisageront de faire faire leur robe chez Catherine Varnier.

Une dernière information importante : ma robe c’est décousue dès le cocktail et malgré les efforts de ma mère afin de recoudre la robe, rien n’y a fait. J’ai donc les photos officielles de mon mariage avec une partie de la robe en franges… Catherine n’a évidemment jamais voulu reconnaître le problème…