L’histoire d'Au Crocodile*, institution gastronomique strasbourgeoise, débute en 1801. Cet ancien couvent est acquis par le Capitaine Ackermann, soldat de Napoléon rentré de la campagne d’Egypte avec un imposant crocodile empaillé! En 1840, la maison est transformée en restaurant par son nouveau propriétaire, M. Benz. A partir de cette date, Au Crocodile n’a cessé d'acquérir et de perdre ses étoiles au Michelin. Une étoile en 1958 avec le chef Ernest Schenck, perdue en 1969, regagnée en 1972 par Monique et Emile Jung, acquéreurs du restaurant l’année précédente. Le couple va confirmer l’ascension d‘Au Crocodile avec une deuxième étoile en 1975, et une troisième en 1989! En 2015, l'actuel propriétaire, Cédric Moulot, reprend Au Crocodile et son chef Romain Brillat gagne sa première étoile en 2017. L’histoire d’Au Crocodile est rocambolesque avec deux constantes: l’élégance d’un établissement au décor raffiné et l’aventure culinaire gastronomique de ses assiettes.
Le Poulpe, lentilles et noisettes en salade, gelée au verjus et sorbet à l'encre ; le Homard bleu rôti et sot-l’y-laisse, pommes de terre nouvelle, émulsion de carapace ; le Pigeon de Théo Kieffer aux éclats de dragées, figue rôtie, samoussa de béatille et purée de choux fleur, jus à la camerise; et le Soufflé Alsacien, sablé à la cannelle et sorbet aux quetsches sont autant d’odes à un terroir alsacien d’une immense richesse sublimé par une créativité intense. Pour vos repas intimes et de fête, le Salon Monique Jung vous permet de recevoir jusqu'à douze proches triés sur le volet. La Grande salle isole également une table de douze couverts sous la fresque de François-Adolphe Grison emblématique du lieu. Le Salon Lalique est pour huit personnes seulement. Et le Salon Europe vous garantit une intimité totale autour d’une valse de plats tous plus exceptionnels les uns que les autres. Le luxe de produits exquis travaillés avec passion est le cadeau que vous fait Au Crocodile.